L’asthme est une pathologie fréquente touchant les voies respiratoires, affectant toutes les tranches d’âges. Environ un suisse sur dix souffre d’asthme à un moment donné de sa vie.
Les personnes atteintes d’asthme éprouvent parfois des difficultés respiratoires qui s’accompagnent d’une respiration sifflante ainsi que d’une limitation de l’amplitude du mouvement de la poitrine. D’autres symptômes peuvent s’ajouter tels que la toux, les vomissements et les spasmes.
Il existe deux types d’asthme : allergique et non allergique. Dans l’asthme allergique, les symptômes sont habituellement le résultat de l’inhalation ou de la consommation d’un certain type de substance externes tels que le pollen, les acariens, la poussière, la moisissure, le blé ou les produits laitiers.
L’asthme non allergique peut être déclenché par une série de facteurs, y compris la fatigue physique, l’effort, certains médicaments, le stress ou l’exposition à des environnements qui sont froids et humides.
L’asthme est fondamentalement un problème de respiration résultant d’une sensibilité accrue des voies respiratoires, qui est provoquée par une série de stimuli ou «déclencheurs».
Le spasme bronchique, ou rétrécissement des voies respiratoires, est récurrent et réversible. On observe une inflammation de l’épithélium bronchique, avec notamment un gonflement (œdème), une bronchoconstriction : contraction des muscles lisses bronchiques (ou spasme), ainsi qu’une hypersécrétion de mucus.
Tous ces symptômes entrainent une obstruction partielle des bronches provoquant une augmentation des résistances des voies aériennes (plus particulièrement des petites voies aériennes), et par conséquent une augmentation du travail respiratoire.À ces crises, est souvent associée une toux irritative.
Si la crise est sévère, les voies aériennes deviennent de plus en plus étroites et le diaphragme, principale muscle respiratoire est obligé de solliciter de manière importante les côtes, la nuque et les muscles abdominaux pour l’aider à fonctionner (muscles respiratoire accessoires). Il en résulte une dépense d’énergie plus grande qui entraine une dyspnée sévère jusqu’à l’épuisement.
L’asthme est une pathologie fréquente touchant les voies respiratoires, affectant toutes les tranches d’âges. Environ un suisse sur dix souffre d’asthme à un moment donné de sa vie.
Les personnes atteintes d’asthme éprouvent parfois des difficultés respiratoires qui s’accompagnent d’une respiration sifflante ainsi que d’une limitation de l’amplitude du mouvement de la poitrine. D’autres symptômes peuvent s’ajouter tels que la toux, les vomissements et les spasmes.
Il existe deux types d’asthme : allergique et non allergique. Dans l’asthme allergique, les symptômes sont habituellement le résultat de l’inhalation ou de la consommation d’un certain type de substance externes tels que le pollen, les acariens, la poussière, la moisissure, le blé ou les produits laitiers.
L’asthme non allergique peut être déclenché par une série de facteurs, y compris la fatigue physique, l’effort, certains médicaments, le stress ou l’exposition à des environnements qui sont froids et humides.
L’asthme est fondamentalement un problème de respiration résultant d’une sensibilité accrue des voies respiratoires, qui est provoquée par une série de stimuli ou «déclencheurs».
Le spasme bronchique, ou rétrécissement des voies respiratoires, est récurrent et réversible. On observe une inflammation de l’épithélium bronchique, avec notamment un gonflement (œdème), une bronchoconstriction : contraction des muscles lisses bronchiques (ou spasme), ainsi qu’une hypersécrétion de mucus.
Tous ces symptômes entrainent une obstruction partielle des bronches provoquant une augmentation des résistances des voies aériennes (plus particulièrement des petites voies aériennes), et par conséquent une augmentation du travail respiratoire. À ces crises, est souvent associée une toux irritative.
Si la crise est sévère, les voies aériennes deviennent de plus en plus étroites et le diaphragme, principale muscle respiratoire est obligé de solliciter de manière importante les côtes, la nuque et les muscles abdominaux pour l’aider à fonctionner (muscles respiratoire accessoires). Il en résulte une dépense d’énergie plus grande qui entraine une dyspnée sévère jusqu’à l’épuisement.
L’ostéopathe offre son aide en travaillant sur les différents acteurs du mécanisme respiratoire, incluant :
L’ostéopathe peut également jouer un rôle préventif important chez les personnes souffrantes d’asthme.
Il est évident que l’ostéopathie ne remplace pas les traitements médicaux conventionnels pour l’asthme. Les anti-inflammatoires, broncho-dilatateurs et parfois antibiotiques sont indispensables dans le traitement de cette pathologie, d’autant plus en cas de crise aiguë.
Les ostéopathes travaillent en collaboration avec les autres acteurs de santé dans le but, à long terme, de diminuer la dépendance des patients à leurs médicaments, dans la mesure du possible.
Les ostéopathes admettent que les fonctions du corps humains sont liées de manière inhérente et peuvent ainsi interagir entre elles.
Partant de cette idée, l’ostéopathe travaille avec douceur sur les structures du corps pour augmenter et améliorer la mécanique respiratoire par :
L’ostéopathe offre son aide en travaillant sur les différents acteurs du mécanisme respiratoire, incluant :
L’ostéopathe peut également jouer un rôle préventif important chez les personnes souffrantes d’asthme.
Il est évident que l’ostéopathie ne remplace pas les traitements médicaux conventionnels pour l’asthme. Les anti-inflammatoires, broncho-dilatateurs et parfois antibiotiques sont indispensables dans le traitement de cette pathologie, d’autant plus en cas de crise aiguë.
Les ostéopathes travaillent en collaboration avec les autres acteurs de santé dans le but, à long terme, de diminuer la dépendance des patients à leurs médicaments, dans la mesure du possible.
Les ostéopathes admettent que les fonctions du corps humains sont liées de manière inhérente et peuvent ainsi interagir entre elles.
Partant de cette idée, l’ostéopathe travaille avec douceur sur les structures du corps pour augmenter et améliorer la mécanique respiratoire par :